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De nouvelles clefs pour développer sa résilience émotionnelle ?

    résilience émotionnelle

    Le monde qui nous entoure peut paraître inquiétant, à la fois de plus en plus petit, à la fois plus immense et inconnu. On a cru dominer les distances et la connaissance, et puis voilà que de nouveaux paradigmes s’imposent : l’anxiété sanitaire et écologique, les guerres qui se rapprochent, les gouvernants qui s’éloignent, les prix qui s’envolent… 

    Les procès de la morale, également, nous éloignent, les uns des autres, voire, souvent, de nous-même. Le stress nous attend partout au coin des écrans et l’anxiété prolifère.

    Dans ce contexte, la résilience émotionnelle est la voie, sans quoi, c’est tout simplement la dépression qui l’emporte.

    Alors, but à atteindre – à savoir, la capacité à faire face aux situations difficiles sans perdre sa stabilité émotionnelle – ou manière de vivre – la résilience émotionnelle illustrant alors cette sagesse qui reconnaît que le but est le chemin – ?

    Comment donc cultiver la résilience émotionnelle ? C’est ce qu’on va voir ensemble maintenant. Après un petit tour de définition de la chose et une page de pub pour deux bouquins que j’ai publié en lien avec ce sujet, on s’interrogera sur les pistes qu’on peut explorer dès à présent, sans même acheter mes bouquins 😁 (Mais, bon, c’est pas interdit !)

    Qu’est-ce que la résilience émotionnelle ?

    On peut difficilement parler de résilience sans évoquer Boris Cyrulnik qui la définie comme la « capacité à réussir, à vivre et à se développer positivement, de manière socialement acceptable en dépit du stress ou d’une adversité qui comporte normalement le risque grave d’une issue négative ». (Cyrulnik, 1999)

    La résilience, c’est donc cette capacité à progresser malgré un contexte « négatif » et des facteurs de risque. On parle de résilience dans bien des domaines allant de la personne à l’organisation, jusqu’aux territoires : « Paris, ville résiliente » !

    Mais ici, on va revenir à la base de l’épanouissement : notre résilience émotionnelle.

    Résilience émotionnelle : de quoi parle-t-on ?

    Inscrite dans le champ des résiliences, la résilience émotionnelle est donc une capacité d’adaptation aux circonstances difficiles et à leurs conséquences ; une ressource qui permet d’affronter les difficultés et les obstacles de la vie ; un processus qui aide à traverser les moments douloureux sans être vaincu. 

    Elle peut être considérée comme un ensemble de stratégies permettant de faire face au stress, à l’anxiété et au découragement, pour retrouver son équilibre personnel ; une sorte de force intérieure permettant de rebondir après l’épreuve. 

    Quelles sont les vertus de la résilience émotionnelle ?

    Résultat d’une saine gestion des émotions, la résilience émotionnelle est garante d’une meilleure qualité de vie ; une source de force vitale qui préserve de l’épuisement causé par les problèmes du quotidien.

    La résilience émotionnelle permet d’améliorer son bien-être psychologique en gagnant en confiance, en autonomie et en estime de soi. Elle favorise l’accès à la motivation et à l’optimisme.

    Les personnes résilientes font face à l’adversité, elles savent faire leur deuil et rebondissent après une perte, une déception ou un échec. 

    Finalement, elles sont plus satisfaites de leur existence que la moyenne et, ne vivant pas dans le jugement, elles ont des relations plus durables. 

    Ce dernier aspect n’est pas sans rappeler l’intelligence émotionnelle… On y revient.

    Mais avant !..


    Deux livres pour développer la résilience émotionnelle

    livres résilience émotionnelle zouzen

    Petite page de publicité pour deux livres rédigés et publiés par mes soins (tsoin tsoin). Ce ne sont pas des livres générés par l’AI mais le fruit de mon expérience et de mon labeur ! On y apprend comment développer plusieurs piliers de la résilience émotionnelle :

    Le lâcher prise

    La libération émotionnelle

    L’intelligence émotionnelle 

    Pour en lire le début, il suffit de cliquer juste ci-dessus !

    Tu peux faire une petite pause pour les découvrir ou reprendre la lecture et y revenir plus tard ! Oui, je le concède, Monsieur est trop bon…


    Peut-on développer sa résilience émotionnelle ?

    Oui, la résilience émotionnelle est une caractéristique qui peut être développée et améliorée.

    Elle repose sur une meilleure connaissance de soi et sur l’acceptation des sentiments négatifs ; et résulterait d’un ensemble de facteurs (dont l’importance varie selon chaque personne et son environnement) :

    • Le modèle de résilience émotionnelle que tu as construit durant ton enfance et ton adolescence.

    • ta capacité à mettre en place des stratégies de coping efficaces pour gérer les situations stressantes ; centrées sur le problème (s’attaquer à la cause profonde d’un problème) ou sur sur l’émotion (apprendre à faire face aux émotions négatives).

    • La qualité de tes relations personnelles et sociales (famille, amis, collègues).

    Je dirais finalement qu’elle repose sur une “façon d’être” qui peut être identifiée et maîtrisée.

    Comment développer sa résilience émotionnelle ?

    1. Prendre conscience d’où on part

    Quand on voit tout en gris, on ne devient pas résilient d’un claquement de doigts ! Surtout que les personnes les plus fragiles psychologiquement ont d’elles-mêmes une estime si basse, qu’elles partent du principe qu’elles sont d’emblée incapable de développer cette résilience.

    Si l’on se dit “Je suis nul, l’environnement est hostile, et il n’y a aucune raison que les choses changent”, on part avec un handicap majeur : celui de se croire incapable de progresser.

    La théorie du Locus de contrôle peut être éclairante sur le sujet, permettant d’établir de manière objective si on se reconnaît les capacités de faire changer les choses notamment.

    Le locus de contrôle, ou le « lieu de maîtrise », se définit comme « la tendance que les individus ont à considérer que les événements qui les affectent sont le résultat de leurs actions ou, au contraire, qu’ils sont le fait de facteurs externes sur lesquels ils n’ont que peu d’influence, par exemple la chance, le hasard, les autres, les institutions ou l’État ».

    En d’autres termes, a-t-on tendance à prendre la responsabilité de ce qui nous arrive, ou à considérer que tout est conditionné par l’extérieur ? Quel pouvoir et quelle valeur nous accordons-nous finalement ?

    La base serait donc de travailler sur l’estime de soi et la confiance en soi. Et pour cette dernière, on peut commencer par adopter la discipline et l’honnêteté de noter les choses positives qui nous arrivent.

    2. Noter ce qui marche déjà

    En ce sens, le cahier de gratitude me semble être un premier outil incontournable. Cahier ou jarre, l’essentiel est de commencer à collectionner les petits bonheurs qui objectivement démontrent qu’on peut aussi rencontrer des personnes aidantes, qu’on réalise soi-même régulièrement des petites prouesses pour les autres ou pour soi-même, et qui attestent que les circonstances quotidiennes ne sont pas toujours défavorables.

    3. Remporter une première victoire

    D’autre part, se sortir les mains des poches et avoir la volonté de faire quelque chose. Pas nécessairement quelque chose de stressant. Je ne suis pas un adepte des méthodes d’élargissement de la zone de confort qui peuvent être tout simplement pétrifiantes pour les personnes qui – définitivement – n’osent pas.

    Mais dans ce cas, décider de faire quelque chose qui demandera – par exemple – de se dépasser physiquement dans une activité que l’on maîtrise parfaitement.

    Et ici, je sors mon atout : la marche. La marche est pour moi le meilleur remède et le plus habile psychologue. La marche canalise l’énergie des émotions, change les idées, métabolise les inspirations, et offre une pratique physique qui permet de se dépasser sans mettre sa santé en danger.

    4. Dépassionner et transcender les difficultés

    Enfin, s’agissant des situations stressantes qui mettent à l’épreuve, eh bien, les considérer comme un entraînement à la résilience émotionnelle ; prendre du recul et se poser les bonnes questions. Par exemple 

    1- Pourquoi suis-je en colère ?

    2- Qu’est ce qui a provoqué cette colère ?

    3- Est-ce réellement si grave que ça ou bien est-ce juste une impression ?

    4- En quoi cette situation va-t-elle me permettre de progresser ?

    Tu découvres ainsi une voie pour prendre plus facilement du recul sur les événements et leurs conséquences. Finalement, rien n’est en soi un échec ; toute situation offre l’occasion d’observer, d’apprendre et de se perfectionner.

    5. Viser l’essentiel et toujours progresser 

    Au fur et à mesure de nos progrès dans cette discipline, on va noter ses victoires (dans son cahier de gratitude) et on va devenir plus ambitieux :

    • Se concentrer sur ce qui est important pour soi et penser aux solutions plutôt que de se focaliser sur le pire scénario possible.

    • Se fixer des objectifs réalistes et de plus en plus exigeants en fonction de ses forces, de ses faiblesses et de ses progrès.

    • Affermir la confiance en soi et l’estime personnelle face aux épreuves en se rappelant que dans la vie, de toute façon, on s’adapte et on rebondit.

    6. Devenir une ressource pour les autres

    • Miser sur ses amis, parler, partager ouvertement ses sentiments afin de remettre les choses en perspective et glaner des encouragements.

    • Et offrir à son tour une oreille attentive et encourageante afin de renforcer les liens de soutien et découvrir encore une source d’estime de soi croissante.

    La résilience professionnelle au travail 

    Maintenant que nous avons une vue générale de la question et une feuille de route balisée, j’ai eu envie, par curiosité “scientifique” et pour compléter mon propos, de demander à l’AI quelques conseils pour développer sa résilience émotionnelle au travail.

    J’ai interrogé différentes AI dont ChatGPT, ChatSonic et Copy.ai ; et après un travail de coupe, de réécriture, d’amendements personnels et d’organisation, voici les conseils complémentaires issues de la connaissance générale qui nous sont proposés.

    Tu noteras que l’AI nous vouvoie. 

    1. Prendre soin de soi

    Prendre soin de soi est essentiel pour la santé mentale et émotionnelle : manger sainement, prendre du temps pour se détendre, pratiquer des activités qui vous plaisent, et dormir suffisamment.

    Faire de l’exercice physique est également une excellente façon de réduire le stress et de renforcer la résilience émotionnelle. Vous pouvez trouver du temps pour faire de l’exercice avant ou après le travail, ou pendant vos pauses déjeuner.

    L’exercice physique peut d’ailleurs constituer un puissant levier de motivation pour s’impliquer davantage dans la qualité de son sommeil et de son alimentation.

    2. Apprendre à gérer le stress

    La gestion du stress est indissociable de la résilience émotionnelle. Des techniques de gestion du stress telles que la respiration profonde, la visualisation positive et la relaxation musculaire progressive peuvent aider à réduire les niveaux de stress. 

    La gestion du stress passera aussi par le développement de compétences d’adaptation, essentielles pour faire face aux défis : apprendre à identifier les pensées négatives, à résoudre les problèmes de manière créative et à maintenir une perspective optimiste.

    Pratiquer la pleine conscience permet aussi de gérer le stress en se dissociant des scénarios catastrophe du mental : porter une attention consciente à l’instant présent, sans jugement ni distraction. 

    Ainsi, prendre régulièrement quelques minutes pour s’asseoir, respirer et se concentrer sur le moment présent peuvent aider à développer cette capacité. 

    3. Adopter une attitude positive

    Adopter une attitude positive aide à surmonter les défis : pratiquer la gratitude, apprendre à voir les situations difficiles comme des opportunités d’apprentissage et de croissance, et ainsi trouver du positif dans les situations difficiles. Pensez aussi à vous concentrer sur les solutions plutôt que sur les problèmes.

    Adopter une attitude positive, c’est aussi apprendre de ses erreurs : les erreurs aussi constituent des occasions d’apprentissage, plutôt que des échecs. 

    Enfin, petite dose de kaizen, cherchez à comprendre ce qui s’est passé, soyez quoi qu’il en soit reconnaissant et demandez-vous comment vous pouvez vous améliorer à l’avenir.

    Pourquoi reconnaissant ? Parce que les échecs relatifs nous permettent de savoir si nous sommes indifférent à la question, auquel cas l’échec a peu de prise, ou si au contraire il nous tient à cœur, auquel cas l’échec est un encouragement à se perfectionner.

    4. Cultiver les bonnes relations sociales

    Les relations sociales solides et positives contribuent à renforcer la résilience émotionnelle. Il est important de développer des relations avec des personnes qui vous soutiennent et vous encouragent. Le soutien de vos collègues peut être un excellent moyen de gérer le stress au travail. 

    S’il est important de construire des relations solides et de vous appuyer sur elles lorsque vous en avez besoin, il est aussi essentiel pour le renforcement de votre résilience émotionnelle de prendre le temps, également, d’écouter et devenir à votre tour un appui pour les autres.

    5. Établir des limites claires : 

    Définissez des limites claires entre votre vie professionnelle et personnelle, afin de pouvoir vous détacher du travail lorsque vous n’êtes pas au bureau.

    En ce sens, la recherche d’un bon équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle est important pour une raison toute simple : grâce à cet équilibre des plateau de la balance, tu ne culpabilises plus sur le temps accordé à ton travail que tu ne consacres pas à ta vie privée, pas plus que tu ne culpabilises sur le temps consacré à ta vie personnelle que tu n’investis pas dans ta vie professionnelle.

    Un autre piste vers la résilience émotionnelle au travail : l’intelligence émotionnelle

    Chose promise, chose due, je ne voulais pas refermer cet article sans revenir sur un domaine central de la maîtrise des émotions : l’intelligence émotionnelle.

    L’intelligence émotionnelle, c’est la capacité à reconnaître et gérer ses propres émotions, et à composer avec celles des autres. Ainsi, elle permet d’orienter sa pensée et son comportement – dépassionnés – de manière efficace. 

    Les 5 compétences de l’intelligence émotionnelle

    Selon Daniel Goleman, l’intelligence émotionnelle se caractérise par un ensemble de compétences défini en 5 point :

    • La conscience de soi

    • L’empathie

    • La maîtrise de soi

    • La maîtrise de relations humaines

    • La motivation interne

    Des compétence précieuses dans le monde du travail, qui te permettent, grâce à une bonne gestion du stress et une saine empathie, de progresser dans de nombreux domaines tels que la communication, l’encadrement, la prise de décision…

    Et comme nous l’évoquions en début d’article, savoir entretenir de bonnes relations au travail est un précieux garant de résilience émotionnelle.

    Cultiver son intelligence émotionnelle

    Alors, comment développer cette intelligence émotionnelle ?

    L’intelligence émotionnelle est un thème à part entière, et d’ailleurs, elle constitue le deuxième pilier de mon livre Adieu boule d’angoisse (Je dis ça, je dis rien !). 

    Cela dit, je te rassure, ici, nous allons faire court en la résumant en 4 étapes :

    1. Saisir l’instant et tes propres émotions

    Le développement de l’intelligence émotionnelle commence par une prise de conscience de ses propres émotions. Tu y parviens grâce au développement de l’attention portée aux sentiments et aux sensations. Et pour y parvenir, tu vas apprendre à ralentir, à demeurer dans le présent et dans le silence pour observer intérieurement ce qui se passe.

    Cette posture propre à la libération émotionnelle (guidée pas à pas dans le livre) est un prérequis permettant d’agir librement et d’observer l’autre sans y projeter ses propres émotions, autrement dit de développer l’empathie nécessaire à une communication constructive.

    2. Canaliser tes émotions

    Comment gérer tes émotions ? Tu vas recourir à des techniques de régulation émotionnelle telles que : 

    • la libération émotionnelle,

    • la respiration profonde,

    • l’écriture…

    • Il peut être aussi précieux d’exprimer ses émotions de manière constructive à son interlocuteur ; par exemple, détendre l’atmosphère face à l’auditoire en avouant son trac.

    Ce temps retrouvé, cette hauteur en quelque sorte, permet de saisir et anticiper l’impact de ces émotions. Tu peux par exemple te demander :

    • « Pourquoi suis-je en train d’éprouver cette émotion ? » 

    • « En quoi cela peut-il influencer ma pensée et mon comportement ? »

    3. Saisir les émotions de ton interlocuteur

    Deuxième pilier : comprendre les émotions de l’autre ou des autres.

    Savoir décoder les émotions des autres entre en jeu : en observant le langage corporel, le ton de la voix, l’expression faciale… Tout un travail d’interprétation objective qu’il faut savoir affiner pour ne pas te laisser influencer par tes propres biais cognitifs, stéréotypes, procès d’intentions…

    Après l’interprétation vient l’anticipation.

    C’est là que l’empathie, c’est-à-dire la capacité à se mettre à la place de l’autre est précieuse, surtout pour adapter sa propre communication et trouver plus facilement l’attitude et le langage qui mènent à un terrain d’entente constructif.

    4. Agir de manière efficace dépassionnée

    Cette feuille de route est un bon guide pour garder la tête froide et les idées claires. Ainsi, délivré du jugement et de l’inquiétude, ouvert à l’autre et à la curiosité, tu découvres une créativité source elle-même de résilience. Car s’il y a bien un antidote à la résignation et aux difficulté, c’est bien la créativité.

    Là aussi, Adieu boule d’angoisse aborde plus précisément cette notion de bascule mentale qui délivre des automatismes fragiles, obtus et routiniers. Et la co-construction qui en soit l’expression de la résilience émotionnelle et le ciment de relations durables au travail.

    Alors, oui, savoir composer avec ses émotions et celles des autres permet d’éviter les conflits et favorise une ambiance de travail agréable. Et en plus, avec une solide intelligence émotionnelle, tu peux même refiler ton boulot à ton chef narcissique et partir plus tôt le vendredi aller boire un verre avec tes amis !

    En conclusion : sois persévérant 

    La vie quotidienne est source de stress récurrent, d’anxiété, de frustrations. Et ces frustrations répétées ont des conséquences connues sur notre santé et sur notre vie sociale.

    Aussi, au bureau par exemple, développer sa résilience émotionnelle est vital pour faire face aux défis et aux difficulté, et éviter de rapporter le stress à la maison.

    Pour une résilience durable, le lien aux autres est important. Les émotions que nous projetons sur les choses et les gens, mais aussi, les émotions que les autres partagent avec nous.

    En ce sens, l’empathie est importante, je dirais, pour la paix des ménages ! Savoir peser le poids de nos paroles et adapter notre langage ; comprendre autrui sans idées préconçues erronées…

    Mais un autre aspect de la relation interpersonnelle, moins technique et plus profond sera la compassion. Compassion envers soi-même, pour ne pas se faire de mal et défendre sa propre dignité, et compassion envers les autres. L’objectif de la sagesse est de découvrir un modèle de comportement à la fois source de bonheur pour soi-même et de contribution au bien commun. 

    Car finalement, la clef du bonheur réside dans le fait de se soucier un peu moins de son nombril et de tisser du lien avec ses frères humains. Nous ne sommes rien sans notre environnement et nul ne peut être véritablement heureux au milieu du malheur des autres.

    La résilience émotionnelle c’est finalement cette capacité à surmonter les défis, à apprendre de ses erreurs et à grandir, qui permet en toute situation de créer de la valeur.

    Quand tu lis ces lignes aujourd’hui, si tu es en train de faire face à un obstacle, souviens-toi que chaque petit pas compte et que tu es capable de surmonter tous les défis avec une ferme décision et de la persévérance. Le plus grand défi ne sera pas de gravir la montagne mais de ne jamais céder à la résignation.

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